Mais ne plaisantons pas, s'emporte Spalletti à propos de Kostic et Del Piero-Yildiz. . . 3-1 ! : l'autre Juve-Roma

Mais ne plaisantons pas, s'emporte Spalletti à propos de Kostic et Del Piero-Yildiz. . . 3-1 ! : l'autre Juve-Roma

December 23, 2025

Au stade Allianz, c'est un match dans le match qui se joue, avec la Juve et la Roma emmenées par Spalletti et Gasperini qui n'ont jamais été maîtrisés. Un match plein d'intensité et de moments capturés par Bordacam de Dazn. La magie du grand match se ressent dès le début, les deux équipes s'affrontant pour trois points importants pour la zone Ligue des Champions. Et la salutation entre Dybala et Yildiz est immédiatement poétique. Spalletti a également confirmé le cadre splendide avec une merveille à Gasperini avant le match, au moment de l'accolade et de la photo. Sur le terrain, ils se mettent immédiatement tous les deux dans l'ambiance et l'entraîneur de la Juventus répète à plusieurs reprises à l'équipe Jouer devant, un message clair. Il encourage ensuite Openda à plusieurs reprises à attaquer l'espace aux bons moments et encourage Thuram à ne pas faire de pièces scolaires. Après vingt minutes ennuyeuses, l'équipe fait une bonne sortie et l'entraîneur répond : Nous avons peur, comme pour inviter ses garçons à les répéter plusieurs fois car ils en sont capables. Mais les épisodes ne s'arrêtent pas là. A la 31', premier épisode d'arbitrage, avec un penalty réclamé par Pellegrini pour un piétinement sur Bremer. Le défenseur brésilien le touche effectivement à peine et de fait Abritro et Var lâchent prise. Le milieu de terrain de Giallorossi s'adresse au défenseur de la Juventus avec Tu m'as battu. Et puis Cristante s'approche de l'arbitre pour essayer de l'envoyer au moniteur : « Marche à pied » répète-t-il plusieurs fois. Puis Locatelli arrive avec un direct : Sale, on ne plaisante même pas. Et tout s'arrête là. Conceicao et la trame de fond avec Sozza : Tu as raison Nous retournons au camp. La Juve insiste sur sa gauche et Conceicao se laisse souvent libre au milieu de terrain. D'abord, il commet une erreur, puis la fois suivante, il ne pardonne pas et profite de tout le stade : Qui a marqué le but, qui a marqué le but ? il dit aux fans d'apprécier le rugissement. Avant le début de la seconde période, les caméras immortalisent également un joli geste de Chico envers l'arbitre, qui l'avait précédemment averti pour une faute sur Mancini : Tu as raison, c'était jaune. Et l'arbitre répond : Ne dites rien à l'assistant, laissez mon assistant tranquille. Conceicao et Bremer de Del Piero, une leçon pour la Juve : bénédiction de la légende au Stade