Onze ans de prison et une amende salée: c'est la peine infligé à Liu Jun, un ancien inter -ceo d'Inter en 2016 aujourd'hui dépassé par un scandale de corruption à la maison. La condamnation, telle que rapportée par la France Presse Agency, était une cour de la province de Hubei, en Chine, à la fin d'une longue procédure judiciaire liée à une enquête nationale sur l'illégalité dans le monde du football. Liu Jun, qui, par le passé, a également guidé la Super League chinoise et le Jiangsu Suning Club (plus tard disparu), a été considéré comme coupable d'avoir empoché des pots-de-vin pour une valeur non spécifiée. Il devra servir plus d'une décennie derrière les barreaux et payer une amende de 1,1 million de yuans, égal à environ 132 000 euros. Liu Jun est devenu après les adieux de Bolingbroke et a quitté le rôle à Antonello, puis flanqué de Marotta. Au moment de Zhang, il s'est présenté dans les tribunes de San Siro. Également une condamnation similaire pour Wang Xiaoping, ancien chef de la Commission disciplinaire de la Fédération de football chinoise, punie de 10 ans et demi de prison et d'une amende de 700. 000 yuans (environ 84. 000 euros). Les deux ont été impliqués dans deux procédures distinctes, mais attribuables à la grande offensive offensive anti-corruption lancée par le gouvernement de Pékin. L'opération fait partie d'une stratégie plus large recherchée par le président Xi Jinping, qui a fait l'un de ses drapeaux politiques depuis plus d'une décennie pendant plus d'une décennie. Cependant, selon plusieurs observateurs, ces campagnes seraient également utilisées comme un outil pour renforcer le contrôle interne du parti et éliminer les rivaux inconfortables. Le football chinois, ces dernières années, s'est souvent retrouvé sous les vues des autorités. En décembre 2024, un autre excellent nom est tombé dans le réseau de magistrats: l'ancien commissaire technique de l'équipe nationale, Tie, a été condamné à 20 ans de prison pour une série d'infractions liées à sa gestion technique et managériale.