Bologne-Juve caché, dans les coulisses : Orsolini fait un clin d'œil, la colère de Cambiaso et enfin Spalletti ouvre ses ailes

Bologne-Juve caché, dans les coulisses : Orsolini fait un clin d'œil, la colère de Cambiaso et enfin Spalletti ouvre ses ailes

December 18, 2025

Bologne-Juve a été décidé par un but de la Cabale, mais le match entre les rossoblù et les bianconeri a été plein d'émotions et de contexte intéressant. L'émission Bordocam nous en a parlé sur Dazn, qui a mis une loupe sur les épisodes les plus importants du match, à commencer par Riccardo Orsolini. L'attaquant italien était l'homme le plus dangereux de l'équipe italienne, rendu également hommage par un sympathique supporter présent dans les tribunes, venu au stade déguisé en ours. Et au début du match, le joueur de Rossoblu voulait aussi saluer Spalletti avec une poignée de main et un clin d'œil : les deux se sont rencontrés lorsque l'entraîneur de la Juventus était entraîneur de l'équipe nationale, même si Luciano ne l'appelait pas toujours. L'idée tactique de Spalletti pour la première mi-temps est claire : Balle à McKennie ! McKennie !. L'entraîneur de la Juventus n'est cependant pas satisfait de la propreté technique de l'équipe. Beaucoup, trop d'erreurs. L'entraîneur en particulier est en colère contre Thuram : Keph, Keph a le vertige. Et encore : Keph, là-bas, là-bas. Il faut faire demi-tour. Un mantra qui sera ensuite répété en seconde période, cette fois avec Yildiz : Kenan ! Better Kenan ! Better boys ! Better, better !. Mais la nervosité de Spalletti se manifeste également lorsque Italiano s'adresse au quatrième arbitre accompagné d'un de ses assistants : Si à chaque fois il y en a deux, j'appellerai aussi quelqu'un. Pourquoi ne peut-il pas le faire seul ? Il peut le faire seul. Puis, après une énième erreur de David, l'entraîneur de la Juventus se tourne tristement vers le banc : Laissez Openda s'échauffer un peu. Le protagoniste du match était également Lucumì, auteur de deux épisodes qui ont laissé Spalletti et d'autres incrédules. Le défenseur colombien a en effet poussé David dans la surface juste avant de pouvoir tirer. Peine? Pas pour l’arbitre Massa. Luciano est immobile sur le bord du terrain, les bras grands ouverts : Comment ?. L'attaquant canadien confirme et raconte à Locatelli : Il m'a poussé par derrière. Le deuxième épisode est en revanche dans la finale, avec Lucumì qui tire physiquement Conceicao (mais OpenVar n'en parle même pas) puis l'envoie en enfer. L'arbitre ? Même dans ce cas, il ne réagit pas. Le scénario se répète : Spalletti est incrédule, immobile, les bras écartés. Il veut des explications, mais elles ne viendront jamais.